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17 février 2000 4 17 /02 /février /2000 10:44

 

Monstera deliciosa



Le Monstera deliciosa (Syn. Philodendron pertusum ) est une plante angiosperme monocotylédone appartenant à l'ordre des Arales ou des Alismatales suivant les classifications, à la famille des aracées (Araceae), à la sous famille des Pothoideae ou des Monsteroideae, à la tribu des Monstereae et au genre Monstera.

 

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16 février 2000 3 16 /02 /février /2000 10:09

 

Thunbergia - Thunbergie - Suzanne aux yeux noirs (Thunbergia alata)



Le thunbergia (Thunbergia alata), appelé également thunbergie ou "Suzanne aux yeux noirs", est une plante angiosperme dicotylédone appartenant à la sous classe des Asteridae, à l'ordre des Scrophulariales, à la famille des acanthacées (Acanthaceae), à la sous famille des Thunbergioideae et au genre Thunbergia. Dans la classification phylogénétique le thunbergia dépend de l'ordre des lamiales.

 

 

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16 février 2000 3 16 /02 /février /2000 07:40

 

Nicobar à camail - Pigeon de Nicobar - Caloenas nicobarica




Le nicobar à camail (Caloenas nicobarica), appelé également pigeon de Nicobar, pigeon à collerette ou pigeon à camail, est un oiseau, quasi menacé, appartenant à l'ordre des colombiformes (Columbiformes), à la famille des columbidés (Columbidae), à la sous famille des columbinés (Columbinae) et au genre Caloenas dont il est le seul représentant.








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15 février 2000 2 15 /02 /février /2000 19:35
Les orchidées de France, Belgique et Luxembourg



Cet ouvrage collectif de 416 pages, paru dans la collection Parthénope et diffusé par la société Biotope, résulte de cinq années de travail sous l'égide de la commission scientifique de la Société Française d'orchidophilie (SFO).

Pour mémoire, la Société Française d'orchidophilie a été fondée en 1969. Elle est agrée par le ministère de l'environnement, au titre de la protection de la Nature et de la Qualité de la Vie. L'activité de la SFO porte, entre autre, sur la connaissance et la protection des orchidées sauvages ainsi que sur le développement de la culture des orchidées.

Cet ouvrage comble un vide important dans la littérature puisque aucun ouvrage ne traitait de façon aussi exhaustive (du moins lors de sa parution ) des orchidées de France, Belgique et du Luxembourg. L'ouvrage, vous l'aurez compris, s'adresse à tous ceux, et ils sont nombreux, qui s'intéressent aux orchidées. Son but est de fournir tant aux amateurs qu'aux botanistes confirmés de précieuses informations sur ces plantes remarquables que sont les orchidées. L'ouvrage se limite aux orchidées de France, de Belgique et du Luxembourg. Il n'aborde pas les orchidées exotiques.


Le chapitre 1 situe rapidement les orchidées dans le règne végétal et dans le monde.

Le chapitre 2 décrit les organes végétatifs des orchidées et leurs inflorescences, puis la morphologie de la fleur ainsi que les fruits et la graine. De nombreux schémas très explicites viennent appuyer le texte afin de mieux appréhender les différences ou pour mieux visualiser ce dont on parle. La morphologie si particulière de la fleur est très bien expliquée et les schémas sont vraiment très clairs.

Le chapitre 3 est consacré à la biologie des orchidées. C'est certainement aussi le plus technique. On y aborde successivement les thèmes suivants :
   •  germination et symbiose: les mycorhizes des orchidées. Il s'agit en fait le l'association obligatoire, au moins au stade de la germination des graines, entre un champignon et l'orchidée.
   •  types biologiques et phénologie : les orchidées au cours des saisons. Ce paragraphe décrit les comportement végétatif des orchidées à travers les saisons.
   •  reproduction sexuée : on y aborde successivement la pollinisation, la fécondation, et l'hybridation.
   •  reproduction non sexuée : apomixie, multiplication végétative et culture des orchidées.


Le chapitre 4 traite de la biogéographie et de l'écologie des orchidées. En clair ce chapitre décrit la répartition des orchidées en fonction de l'écologie des plantes, c'est à dire à leurs tolérances ou leurs exigences au regard des paramètres climatiques, édaphiques (la nature du sol) et/ou biotique du milieu. Plusieurs cartes viennent compléter le texte.

Le chapitre 5 aborde l'indispensable protection des orchidées. La déprise agricole, l'usage des amendements, engrais, herbicides, l'arrachage, le développement urbain, l'assèchement des zones humides sont autant de causes de régression de la flore orchidologique. J'ai vu moi même disparaître une magnifique station où il y avait plusieurs sortes d'orchidées lorsque le paysan a labouré sa prairie naturelle pour en faire une prairie artificielle.

Le chapitre 6 retrace l'histoire de l'orchidologie, relate un certain nombre de mythes et traditions populaires, et recense les noms populaires (vernaculaires) des orchidées.

Le chapitre 7 constitue le cœur de ce livre On y aborde en détail la monographie des orchidées classées par genre : Cypripedium, Goodyera, Spiranthes, Herminium, Gennaria, Platanthera, Pseudorchis, Gymnadenia, Nigritella, Chamorchis, Cœloglossum, Dactylorbiza, Orchis, Aceras, Anacamptis, Barlia, Himantoglossum, Neotinea, Traunsteinera, Serapias, Ophrys, Cephalanthera, Epipactis, Limodorum, Neottia, Listera, Epipogium, Liparis, Hammarbya et Corallorbiza. A l'intérieur des genres, les orchidées sont classées par section en ce qui concerne les genres les plus riches en taxons. Pour chaque orchidée une carte en indique la répartition géographique. On se rend bien compte ainsi de sa présence ou de son absence dans tel ou tel département. Lorsque c'est nécessaire une clé du genre, sous forme de tableau avec des schémas permet de visualiser les principaux caractères distinctifs.



Le glossaire
: généralement je râle après les glossaires, souvent insignifiants et n'apportant aucune aide au lecteur. Ici, tout au contraire le glossaire est développé sur quatorze pages. Les termes décrits sont parfois accompagnés de schémas. Le glossaire est riche et les explications sont claires. C'est un glossaire que beaucoup d'ouvrages devraient prendre en exemple.


En conclusion, Les orchidées de France, Belgique et Luxembourg se révèle être un ouvrage remarquable, très riche en photographies d'excellente qualité. Sa lecture est très abordable car les rédacteurs ont su concilier précision scientifique et vulgarisation. De nombreux schémas, cartes et photographies complètent idéalement les descriptions. C'est un ouvrage indispensable que je recommande vivement à tous les amateurs d'orchidées. A s'offrir ou à se faire offrir.


Devant le succès de la première édition, une nouvelle édition vient de voir le jour, augmentée d'une centaine de pages. Je n'ai pas encore eu l'occasion de feuilleter cette nouvelle édition, mais dès que ce sera possible, je rajouterai quelques lignes.





Kriss de Niort, le 08/10/2006

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15 février 2000 2 15 /02 /février /2000 13:37
Massacre des phoques


Pétition pour l’arrêt définitif de la chasse aux phoques

La chasse aux phoques au Canada est le plus grand massacre de mammifères marins dans le monde. Dès l’âge de 12 jours, des centaines de milliers de bébés phoques sont tués chaque année à coups de gourdin, de hakapik ou de fusil. Une équipe de vétérinaires indépendants a montré qu’une grande partie des bébés phoques sont dépecés vivants !

Cette barbarie, perpétrée chaque année au Canada, n’est pas acceptable et nécessite un changement de la législation actuelle, à savoir l’arrêt de la chasse aux phoques.

Si vous approuvez la requête de Fourrure Torture, demandez au gouvernement canadien de prendre la décision d’arrêter définitivement la chasse aux phoques et au gouvernement français d’interdire l’importation et la commercialisation de tout produit à base de phoque.

La pétition est à signer à cette adresse : http://www.chasse-aux-phoques.com/petition.html.


Kriss de Niort, le 15/02/2007

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15 février 2000 2 15 /02 /février /2000 10:12

 

Solitaire de Rodrigues (Pezophaps solitaria)


Photo Solitaire de Rodrigues (Pezophaps solitaria) Le solitaire de Rodrigues (Pezophaps solitaria) est un oiseau aujourd'hui disparu appartenant à l'ordre des colombiformes (Columbiformes), à la famille des raphidés (Raphidae) et au genre Pezophaps dont il était le seul représentant connu.

Comme son nom l'indique le solitaire de Rodrigues était originaire de l'île Rodrigues. C'était un oiseau assez proche
du dodo (Raphus cucullatus), lui aussi éteint.

La description la plus ancienne du solitaire de Rodrigues est l'œuvre d'un français, François Leguat, réfugié huguenot, qui vécut sur l'île de 1691 à 1693. D'après cette description le solitaire de Rodrigues serait un oiseau qui défendrait ardemment son nid et sa couvée. Il ne pondrait qu'un seul œuf de la taille d'un œuf d'oie qui serait couvé par le mâle et par la femelle pendant sept semaines. Le plumage du mâle serait grisâtre et brun tandis que la femelle serait "aussi bien blonde que foncée".

Faute de prédateurs naturels sur l'île, le solitaire de Rodrigues avait perdu l'usage du vol et ses ailes s'étaient atrophiées. Les huguenots appréciaient la viande du solitaire de Rodrigues, surtout celle des jeunes.

La date de la disparition de cet oiseau est incertaine. Il est présumé disparu dans les années 1760, à cause de la chasse et de la prédation effectuée par les animaux importés, notamment les chats.

Le seul squelette complet du solitaire de Rodrigues se trouve au Musée de Port-Louis à Maurice. Le Museum d'Histoire naturelle de Paris possède un exemplaire empaillé du solitaire de Rodrigues.


Kriss de Niort, le 15/02/2008 


Crédit photo :
Statut : Domaine public



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15 février 2000 2 15 /02 /février /2000 08:29

 

Dodo - Dronte - Raphus cucullatus


Photo Dodo - Dronte (Raphus cucullatus) Le dodo (Raphus cucullatus) appelé également "dronte" est un oiseau aujourd'hui disparu appartenant à l'ordre des Columbiformes, à la famille des raphidés (Raphidae) et au genre Raphus. Le dodo est proche du Solitaire de Rodrigues (Pezophaps solitaria) lui aussi disparu.

Le dodo était un oiseau endémique des forêts et des plaines de l'île Maurice. Le dernier spécimen a disparu à la fin du XVIIe siècle. Le nom du genre "Raphus" étant ambigu, Carl von Linné a essayé de rebaptiser l'espèce en Didus ineptus, mais suivant les règles de nomenclature c'est le premier nom donné qui prévaut et "Raphus cucullatus" a donc été conservé.

L'étymologie est incertaine mais est probablement à connotation péjorative. On pense que le mot "dodo" serait une déformation d'un terme néerlandais "dodars" ou "dodoors" que l'on peut traduire par "paresseux". D'autres sources indiquent que "dodo" serait issu d'un mot portugais "doido" signifiant idiot, simplet, stupide ou fou...

C'est lors d'une expédition hollandaise en 1598, placée sous le commandement de l'amiral Jacob Cornelius van Neck, que les marins ont découvert le dodo que Cuvier a classé dans un premier temps dans les gallinacées.

Photo Dodo - Dronte (Raphus cucullatus) D'apparence le dodo ressemble à un dindon. Il mesure environ 70 centimètres de haut (voire 1 mètre pour certains auteurs) pour un poids estimé à une douzaine de kilogrammes (20 ou 23 kilogrammes pour certains auteurs). N'ayant pas de prédateurs, le dodo avait perdu l'usage du vol et ses ailes atrophiées étaient courtes. Le dodo était devenu un oiseau coureur aux pattes noires, robustes, terminées par quatre doigts jaunes. Globalement son plumage était sombre et moiré et la queue ne portait que quelques courtes plumes. La tête du dodo était surmonté d'un capuchon noir (d'où le nom de cucullatus). Le dodo possédait un bec jaune et recourbé.

Le dodo se nourrissait au sol de divers fruits et graines. Lourd, pataud, incapable de voler il devint vite une proie pour les marins de passage qui le chargeaient sur leurs navires afin d'avoir de la viande fraîche. Cette version est contestée car il semblerait que sa chair ait mauvais goût et il existe peu d'indices sérieux de prédation de l'homme sur le dodo. Par contre les hommes ont détruit beaucoup de forêts, lieux où les dodos nidifiaient. L'introduction d'animaux divers, volontaire ou non (porcs, chèvres, macaques, rats, chats, chiens) et redevenus sauvages a eu raison des derniers spécimens non capturés. On considère que l'espèce s'est éteinte vers les années 1688 à 1715, soit guère plus de 100 ans après sa découverte.


Kriss de Niort, le 15/02/2008 


Crédit photo :
Photo 1
Auteur : Lord Lionel Walter Rothschild. 1907
Statut : Domaine public
Photo 2
Auteur : Œuvre anonyme (1880) – Reproduction d'une peinture de Roelant Savery (1626)
Statut : Domaine public



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14 février 2000 1 14 /02 /février /2000 13:00

 

Véronique pédonculée - Veronica peduncularis



La véronique pédonculée (Veronica peduncularis Syn. Veronica pedunculata) est une plante angiosperme dicotylédone appartenant à l'ordre des Scrophulariales, à la famille des scrofulariacées (Scrophulariaceae) et au
genre Véronique (Veronica). Dans la classification phylogénétique les véroniques sont rattachées à l'ordre des lamiales et à la famille des plantaginacées (Plantaginaceae).

 

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14 février 2000 1 14 /02 /février /2000 10:26

 

Bernache cravant - Branta bernicla



La bernache cravant (Branta bernicla Syn. Anas bernicla) est un oiseau appartenant à l'ordre des ansériformes (Anseriformes), à la famille des anatidés (Anatidae), à la sous famille des ansérinés (Anserinae) et au genre Branta.

On distingue trois sous espèces de bernaches cravant :
Branta bernicla bernicla : la sous espèce nominale, à ventre gris,
Branta bernicla hrota : la bernache cravant à ventre pâle,
Branta bernicla nigricans : la bernache cravant du Pacifique (ventre noir et grand collier blanc).

La bernache cravant est une petite oie migratrice à répartition circumpolaire qui nidifie dans la toundra de tout l'hémisphère nord et dont les populations migrent en hiver vers le sud. L'hivernage s'effectue sur les vasières côtières (baies, estuaires, marais salants, lagunes). La Bernache cravant du Pacifique (Branta bernicla nigricans) qui niche de l'Alaska à la Sibérie hiverne essentiellement en Californie et au Mexique, mais quelques spécimens nichent en France. Les autres populations hivernent en Europe, dont la France, et en Asie du Sud.

La bernache cravant mesure de 55 à 65 centimètres pour une envergure comprise entre 1,1 et 1,2 mètre. Son poids oscille entre 1,1 kilogramme et 1,7 kilogramme. La Bernache cravant possède un plumage sombre avec la tête, le cou et la queue noirâtres. Les ailes et le ventre sont gris foncé à gris clair et le croupion est blanchâtre. Le bec et les pattes sont noirs. Suivant les sous espèces il y a quelques variations dans le plumage. Par exemple la sous espèce nigricans possède un collier blanc, généralement jointif et plus large que les autres sous espèces. La couleur du ventre notamment est également un critère d'identification.

La bernache cravant est une oie exclusivement végétarienne qui se nourrit essentiellement de zostères (Zostera marina et Zostera japonica) sur ses lieux d'hivernage, mais il lui arrive de se nourrir sur terre, notamment de salicornes. Sur les lieux de nidification la bernache cravant se nourrit également de lichens et de mousses.

La bernache cravant est monogame et forme des couples fidèles. La saison de reproduction a lieu en juin. Le nid est édifié à même le sol et garni de duvet. La femelle pond de 3 à 5 œufs qu'elle incube pendant 25 jours environ. La nidification s'effectue généralement sur des îles ou îlots, en isolé ou en petites colonies.

La migration débute vers la fin du mois de septembre, en famille, associées parfois avec d'autres oiseaux migrateurs. Pendant les vols migratoires les bernaches cravants constituent rarement des vols en "V" comme c'est le cas pour d'autres oies, notamment
la bernache du Canada (Branta canadensis).

La population mondiale de bernaches cravants est estimée à 570.000 individus et l'espèce n'est pas considérée comme menacée.



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14 février 2000 1 14 /02 /février /2000 07:40

 

Lampourde glouteron - Xanthium strumarium



La lampourde glouteron (Xanthium strumarium) est une plante angiosperme dicotylédone appartenant à l'ordre des astérales (Asterales), à la famille des astéracées et au genre Xanthium.

 

En savoir plus sur la Lampourde glouteron



La lampourde glouteron possèderait toutefois des propriétés médicinales diverses. On dit qu'elle est analgésique, dépurative, anticonvulsive, antifongique, antiseptique, astringente, diurétique, hémostatique, laxative, sédative, sudorifique... Elle serait utilisée dans le traitement de l'anorexie et des rhumatismes. La lampourde glouteron était également utilisée pour soigner la maladie des écrouelles (tuberculose ganglionnaire) appelée également scrofule, d'où les noms vernaculaires de "lampourde anti-scrofuleuse", "lampourde aux écrouelles", "herbe aux écrouelles". Dans tous les cas renseignez vous auprès des médecins ou herboristes compétents sinon vous risquez l'empoisonnement.


Kriss de Niort, le 14/02/2008


 

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